Davy.JonesWord

Davy Jone's ideas

Vendredi 27 novembre 2009 à 22:14

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Je m'appelle Davy. J'ai 16 ans, âge de la décadence. Je vous souhaite bien le bonsoir, et une belle mort.

J'aime la vie, la mort. Le beau, le laid. J'aime et je déteste. Je trouve tout bien et mal. J'aime le glauque et le joli. Mais tout ça, personne le sait. Parce que je suis une fille souriante. Mais le seul mot qui me définit est Indécise.

Davy Jone.

Vendredi 5 février 2010 à 19:17

PUTAIN SA MAMAN LA CATIN 
Je l'aime, et je me fais avoir
comme une conne.

Davy.

Dimanche 7 février 2010 à 22:58

http://davy.jonesword.cowblog.fr/images/antonego.jpgIl s'en est passé des choses ces 2 dernières semaines. Je ne suis plus la même. Je suis une nouvelle femme. J'ai changé. En si peu de temps c'est fou. Les choses peuvent-elle changer si vite? Je n'écris jamais si je  vais bien, je n'écris toujours qu'en plein moment de solitude.

Mais je l'ai donné.
Je lui ai donné.
Je l'ai perdu, mais avec plaisir,
et j'ai eu le temps de lui dire en revoir.
Apres 16 ans de cohabitation.
On était inséparables finalement.
Je suis en période de deuil.
Qu'on me l'ai retirée si rapidement, je m'y était attachée sans le savoir.
Avec elle, j'ai perdu mon innocence.
Mais j'ai aussi gagné une nouvelle vie.
Je t'écris ma fleur, pour te dire au revoir.
Adieu, mon aimée virginité.



Je viens d'écrire tout un texte qui s'est malencontresement effacé. Il était inspiré, je n'arriverai pas à le réécrire. :(
Sur ce Bonne nuit. Vous me manquez.

Davy.

♪♫II►

Mercredi 14 avril 2010 à 14:08


Je répond à une invitation, proposé par un ami, pour aller à une soirée, ou je ne connais personne, à par lui. En fille sociable j'accepte avec plaisir, et me prépare: mini-jupe, top et talons aiguilles (n'oublions pas que la parisiannisation touche ma ville, tenue sexy obligatoire). J'arrive là-bas, je vois que le réveil affiche 22h35. Okay, tranquille ...

En jeune femme de 17, qui se respecte, je bois ce qu'on m'offre et fume ce qu'on me propose. C'est la que rien ne va plus...
L'ambiance change, je me retrouve dans un univers noir et vert foncé, ou rien n'est beau, tout est laid. Il y fait froid et humide. On m'emmène dans un endroit encore pire: une sorte de bocage, dans lequel on peut trouver un étang au milieu. Dans cet étang se trouvent des hommes, des femmes et des enfants, au visage défiguré par la fatigue et la peur. Ces gens sont debout en équilibre sur des planches de bois et sont attachés par les bras à des branches d'horribles arbres déformés qui forment un pont au dessus de l'eau noir.

Je m'y plait, cet endroit m'excite, m'emplis d'adrénaline. J'aime voir ces gens attachés, je les dominent. Au milieu du lac se trouve mon ami, qui nous explique les règle du jeu, car tous ceci est une mise en scène pour pimenter la soirée. J'ai un flingue, d'ou il sort, je n'en sais rien. Je tire dans le tas, le but étant de faire tomber dans les profondeurs le plus d'etres humains... Je tire, je ris, je m'amuse, je m'éclate, je les vois tomber et j'adore ça, c'est l'extase. Ca continu, des heures et des heures... Les eaux noires deviennent rouge foncé, ce qui met de la couleur à ce monde inconnu!
Je regarde autour de moi, tout dans ce monde reflette mon état... la couleur, la froideur, létrangeté. J'ai la tête qui tourne, rien n'a de sens. Je jouis de détruire des vies, et je ne me pose même pas de questions. Je n'ai pas peur, j'aime faire peur. Tout ce qui m'arrive me parait extra ordinaire et amusant à un point! Je m'éclate, j'aimerais que ca ne finisse jamais.


Mais la, je me réveil dans mon lit. J'ai mal à la tête, je ne sais pas comment je suis arrivée ici. Un immense sentiment de panique me prend au coeur, je pleure, je pleure encore. Je ne sais pas ce qu'on a fait de tous ces gens, je ne sais pas ou est l'arme. Je pense avoir détruit des centaines de vies, en comptant la mienne. Je m'imagine passer toute celle-ci en prison. Je pleure encore. Mon réveille affiche 6h28. Je ne sais pas depuis quand je suis la... Je n'ai aucun repère. J'appelle mon ami, le maître du jeu...
Il me répond que j'ai refusé son invitaion la veille. Le soulagement me gagne peu à peu. Je viens de faire un cauchemard si réel, que je me met à pleurer de plus belle.

J'ai maintenant peur de m'endormir, car cela fait plusieurs semaines que je cauchemarde chaque nuit. Mais ils sont de plus en plus violents, et surtout de plus en plus réels.


Davy.

Samedi 29 mai 2010 à 17:10

Je suis la pire deception de ma mere, la chose qui a gaché sa vie. C'est elle meme qui me repete sans cesse "les choses n'evoluent pas toujours comme on le souhaite", en me faisant remarquer que je suis l'object de la phrase.
Je ne suis pas droguée, pas encore, pas alcoolique, je suis une personne pas tres intelligente mais qui travaikle et qui assume ses actes, j'ai un style normal, je ne l'insulte pas, ne la frappe pas, passe meme des bons moments avec elle.
Je la supporte, elle m'insupporte, mais je prnds sur moi. Je fais tout pour lui montrer que je suis une fille bien. Ca ne marche pas. Je suis a un point ou je me dis que je pourrais devenir rebelle, secher la moitié du temps pour fummer des spliffs et sortir sans permission, ce que je ne fais pas... ce serait la meme chose.
Si je deviens la personne qu'elle ne voulait pas que je devienne elle ne le remarquera meme pas.
Elle me parle d'ecoute "je suis bien plus a l'ecoute de toi que tu ne l'est de moi." Si t'etais a mon ecoute, connase, tu saurais que je vais pas bien. Tu saurais pk je perds du poids, tu saurais que je suis pas la personne que tu penses savoir que je suis. Tu verrais que je ne suis pas aussi bien dans ma peau que ce que je montre. Tu saurais que je pleure tous les jours. Tu saurais que tu ne sais rien sur moi. ALORS ME PARLES PAS D'ECOUTE, TU COMPRENDS RIEN, TU NE SAIS RIEN !

Samedi 19 juin 2010 à 0:12

http://davy.jonesword.cowblog.fr/images/jours.jpg
Décidément, l'être humain est stupide. Nous suivons une quête inacomplie, notre chemin est inachevé. Comment l'homme compte-il vivre, si il pense tout d'abord à éloigner la mort, seule preuve inéluctable de notre existence. Biensure, d'autres preuves existent: la musique pour un passionné, l'écriture pour un romancier, les preuves pour un scientifique... Le tout est de trouver ce qui est important pour chacun, de savoir ce qui nous maintient dans l'optique de son existence, de comprendre quel est notre rôle à chacun, pourquoi nous sommes nés.
Un raté n'est qu'une personne qui n'a jamais trouvé de réponse à cette question.
Le rêve est une solution.Seule échapatoire de la dure réalité, seul esquive possible. Le cerveau nous ment si bien, via l'inconscient. Il nous met dans des situations compliquées, il nous fait croire des choses irréelles, il nous fait nous faire des films... il nous fainte et on le croirait méchant. Mais ce n'est qu'une facade. Il lui arrive aussi de nous emmener si loin. Dans des mondes parallèles, des mondes qui nous correspondent. Il prend nos désires et en fait des réalités, le temps d'une nuit. C'est si simple, mais si compliqué à la fois.C'est la toute la beauté de la chose.
Mais, je comprends tous ces artistes, qui ont pris le chemin de la drogue. En effet, je me plais aussi a ressentir ces effets... Rêver éveillée. C'est incroyable tout de même que le fait de consumer une simple plante puisse nous faire voler, m'envoler au dessus des réalités, me laisser aller à mes désirs et envies, qui sont finalement le réel but de ma misérable existence, de mon insignifiante présence sur cette gigantesque plateforme. La drogue, c'est mal. Pourquoi? Cela accelere la venue de cette si redoutée mort. La même qui est la lumière de toute vie, le bout du tunnel qui te sert de destin, sur les murs duquel s'écrit toute ton histoire. Je me demande parfois en quoi je devrais me culpabiliser de me faire voler de temps en temps, pour quel motif: c'est dangereux... Oui mais cela me transporte, me fait me sentir vivante. C'est interdit... Oui, mais pour quelle raison, je l'ignore, et je m'en tape.
C'est si bon de ne plus se sentir. De perdre la notion de réalité, d'oublier, d'oublier ses soucis, problèmes en tous genres. C'est fini. C'est la fin...

"La grâce exceptionnelle que je connais parfois, ne va pas sans ces moments d'effondrements et d'horreur, eux aussi exceptionnels."
Tu me comprends si bien, c'est fou.

♪♫II►



Davy.
Oublies, oublies qu'ici on n'est rien.

Samedi 19 juin 2010 à 11:31

Penser tout haut, c'est vouloir que quelqu'un nous écoute.
Ecrire, c'est pareil.

J'écris pour me sortir de ma solitude, pour pouvoir m'imaginer que quelqu'un essaye de me comprendre, pour partager mes état d'âme. Mais cela est bien difficile sans personne pour me lire. Je ne vous remercie pas, pauvres écervelés, de ne pas réfléchir comme moi.
Et de m'enfoncer un peu plus, par vos manque de visites.

Davy.
Avec mes expressions les plus hypocrites ! Salutations.

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